Inspirations parisiennes vol.7

Inspirations
PARISIENNES 

— volume 7

Paris est une capitale au charme fou. Ce n’est guère une nouvelle de l’écrire, mais cela fait toujours du bien de se le dire et de le clamer, comme l’aurait fait Ernest Hemingway en son temps. Elle est une source d’inspiration inépuisable par son architecture, ses musées, ses places, ses boutiques, ses badauds, sa Seine et ses ponts, sa vie nocturne… et diurne aussi, ses espaces verts, ses églises, sa tour Eiffel, ses fontaines, ses rues pavées, ses maisons, et tant d’autres choses encore !

C’est pourquoi nous vous proposerons de temps à autres de (re)découvrir quelques lieux nous inspirant et instillant ce je ne sais quoi de différent…

 

 

RUE DES THERMOPYLES

Voilà un écrin longiligne de verdure et de pavés lové dans le 14e arrondissement. Non loin de la station de métro Plaisance, vous y croiserez certainement des badauds et des chats déambuler avec non-chalance, car ici, les aiguilles de la pendule semblent vouloir aller à reculons ; le temps n’a guère d’effets sur les lieux, si ce n’est sur quelques lézardes et peintures défréchies. Il y fleure bon le Montmartre d’Amélie Poulain. Parfois, on y voit même du linge suspendu comme dans le sud de l’Europe, et l’on y entend quelques notes de musiques, de Chet Baker à Massimilia Sound System, en passant par du Men I Trust. Un paradis perdu pour les nostalgiques d’un Paris disparu ?

 

 

LE MUSÉE D’ENNERY

Il est peut être l’un des secrets muséaux les mieux gardés de la capitale. En quelque sorte annexe du Musée Guimet, le musée Ennery, situé au 59 de l’avenue Foch, est une mine d’or pour celui ou celle qui s’intéresse notamment à l’Asie, et notamment au Japon. C’est ici, dans un hôtel particulier de toute beauté, qu’a été rassemblée la collection extrême-orientale d’Adolphe Philippe d’Ennery (1811-1899) avec des pièces d’une très grande rareté et singularité. Boiseries, masques, Netsukes, Okimonos, mobilier tel que des coffres et cabinets… ce sont 7000 objets qui trônent en majesté dans des appartements d’un autre temps.

 

 

LA BOURSE DE COMMERCE (COLLECTION PINAULT)

On a quand même de la chance à Paris puisque certaines des grandes familles et des capitaines d’industrie de notre pays, ont investi le territoire à travers la culture, l’art, le mécénat. Tel est le cas de l’incroyable collection d’art de François Pinault qui a trouvé en la Bourse de commerce, un écrin tout à fait à sa mesure, et qui complète un arc d’exposition des plus somptueux avec le Punta della Lagana (exptionnel !) et le Palazzo Grassi, tous deux à Venise. C’est une invitation qui ne se refuse pas, quoiqu’on en pense (capitalisme, gna gna gna…), il faut simplement savoir en profiter et se laisser emporter par des œuvres qui nous content une partie de notre humanité.

 

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